Les photos qu’on garde, les costumes qu’on retrouve, les bijoux et médailles qu’on conserve pour se porter chance ont construit l’imaginaire de nos collections de vêtements.
Nous sommes Victoria Baia et Victor Koehler, nous avons 23 ans et sommes les cofondateurs de la marque LA CAGE. Nous nous sommes rencontrés au lycée et avons effectué nos études en arts appliqués puis en design de mode à l’École Duperré ensemble. Nous partageons la même passion pour le cinéma, les légendes, les contes et les histoires passées.
Notre marque s’appelle LA CAGE en hommage au roman graphique éponyme de Martin Vaughn-James.
Lors de nos études à Duperré nous avons été contactés sur Instagram par le concept-store Effe à Montréal qui souhaitait acheter ce qui était alors notre collection de diplôme. À partir de là, nous avons déposé la marque LA CAGE et avons commencé à présenter notre travail sous ce nom.
Fiction, souvenirs et uniformes.
Les photos qu’on garde, les costumes qu’on retrouve, les bijoux et médailles qu’on conserve pour se porter chance ont construit l’imaginaire de nos collections de vêtements.
Nous aimons travailler avec des éléments ayant déjà un vécu, portant déjà une histoire ; l’usure et la patine, qu’elles soient authentiques ou artificielles, prennent une place centrale dans l'esthétique de nos collections.
Notre passion pour le cinéma nourrit notre travail en mode. Nous avons créé un vestiaire masculin bercé par les films de Martin Scorsese, David Lynch ou les nouvelles d’Annie Proulx.
Les vêtements des gardiens de phare de “The Lighthouse”, les complets de costume des mafieux de “Ghost dog”, le soleil écrasant du désert de “The Master”, l’épopée de William Blake et Nobody dans “Dead man”, les costumes et les outils éprouvés par le temps de “There will be blood”, l’homme mystère de “Lost Highway”, la chemise tachée de sang de Travis Bickle dans “Taxi Driver” et les fantômes de soldats de “In the Electric Mist”.
La “Split silk shirt”. C’est le premier vêtement qu’on ait vendu. Elle est réalisée avec un procédé artisanal de notre invention.
Le Split Silk Shirt – Blue
Les boutons en nacre anciens
De la nostalgie pour un temps qu’ils n’ont pas connu et l’envie d’aller au cinéma.
La création de mode a pour nous vocation à être au service d’autres formes d’art comme le cinéma, la musique ou la photo.
Ce qui est fait à le mérite d’être fait.